Différences entre versions de « Consensus scientifique »
Ligne 24 : | Ligne 24 : | ||
− | *'''Complotisme : contester un truc qui a été démontré / Scepticisme : contester un truc qui n'a pas été démontré | + | *'''[https://twitter.com/ReOpen911_info/status/1358895293958389762 Complotisme] : contester un truc qui a été démontré / Scepticisme : contester un truc qui n'a pas été démontré |
*'''Et pour savoir si un truc est considéré comme démontré, il faut interroger les spécialistes du domaine concerné | *'''Et pour savoir si un truc est considéré comme démontré, il faut interroger les spécialistes du domaine concerné | ||
− | *[[Les scientistes|Retour aux scientistes]] | + | *[[Les scientistes|[Retour aux scientistes]] |
Version du 5 janvier 2023 à 18:00
Il y a un consensus en faveur d'une hypothèse scientifique quand une large majorité des spécialistes du domaine (en général au moins 85%) la valide.
C'est le cas par exemple pour l'évolution, le réchauffement climatique, ou sur le fait que la terre est ronde.
Ce n'est pas synonyme de vérité définitive (ça n'existe pas en science), mais c'est le plus haut niveau de certitude qui puisse exister à un moment donné.
Des scientistes comme Gérald Bronner ou la Tronche en Biais ont tendance à inventer du consensus quand ça les arrange, par exemple en faveur des OGM et du glyphosate.
Ils font croire qu'il s'agit d'un consensus parmi les études alors que c'est un consensus parmi les scientifiques.
En 2022, Mendax a admis que les zététiciens avaient peut-être un peu trop de certitudes sur le glyphosate.
- Il y a deux pièges à éviter avec les consensus scientifiques : les rejeter sans raison valable quand il y en a, et en inventer quand il n'y en a pas
- Les zététiciens et le consensus scientifique
- La Tronche en Biais et le consensus scientifique
- Gérald Bronner et le consensus scientifique
- Divers
- Complotisme : contester un truc qui a été démontré / Scepticisme : contester un truc qui n'a pas été démontré
- Et pour savoir si un truc est considéré comme démontré, il faut interroger les spécialistes du domaine concerné