Pour un anti-complotisme intersectionnel
Révision datée du 2 février 2022 à 18:05 par WikiSysop (discussion | contributions)
- Certains croient tout ce qu'ils lisent sur internet, d'autres croient tout ce qu'ils entendent au JT
- L'anti-complotisme c'est comme l'antiracisme et le rationalisme, il y a les vrais et il y a les imposteurs
- Le conspi croit un truc fantaisiste, le sceptique doute d'un truc qui n'est pas démontré
- Le complotisme, c'est quand on se méfie des élites [1] L'observatoire de la bêtise du peuple
- La défiance systématique vis-à-vis des discours institutionnels
- La triple urgence écologique, sociale, démocratique réclame qu'au radicalisme libéral, on oppose une radicalité inverse
- L'anti-complotisme doit être à l'intersection entre les SHS et les sciences "dures"
- Les dérives de l'anti-complotisme
- Les différences entre le complotisme et le scepticisme
- Le rapprochement entre des pseudo-laïques et des scientistes
- Comment savoir si on doit croire une information ?
- Le triomphe du complotisme
- La sociologie
- Le relativisme
- La tenaille
- Le renversement du sens des mots
- Pour ou contre la réouverture de l'enquête
- Ils pensent que ça détourne des vrais problèmes
Au lieu de démontrer l'hypothèse qu'ils défendent, les idéologues demandent aux sceptiques de démontrer qu'elle est fausse.
C'est du renversement de la charge de la preuve.
Quand un gouvernement nous demande de le croire, c'est à lui d'apporter des preuves convaincantes.