Consensus scientifique
Il y a un consensus en faveur d'une hypothèse scientifique quand au moins 85% des spécialistes du sujet la valident.
C'est le cas par exemple pour l'évolution ou pour le réchauffement climatique.
Le consensus scientifique n'est pas synonyme de vérité définitive, il est le plus haut niveau de certitude qui puisse exister à un moment donné.
Des imposteurs de la science (principalement des militants pro-OGM) ont tendance à inventer du consensus quand ça les arrange. Ils font croire que la science a tranché certains débats alors que ce n'est pas le cas. Ils préfèrent s'en tenir aux études qui disent ce qu'ils ont envie d'entendre (biais de confirmation), alors qu'il est assez simple de réaliser de nombreuses études qui ne montrent rien si on regarde seulement là où on est sûr de ne rien trouver.
Ils acceptent la définition donnée par Wikipedia :
Ils la rejettent :
- Discussion sur la page FB de la Tronche en Biais
- La Tronche en Biais
- La Tronche en Biais
- La Tronche en Biais
- La Tronche en biais
- La Tronche en biais
- Liberté Académique
- Un Monde Riant
- Les Vaxxeuses
- Le CLEMI
- Marc Elbichon
- Marc Elbichon
- Frédéric Drago
- Alexis Olivier-Huard
- Alexis Olivier-Huard
- Christophe Michel
- Christophe Michel
- Romain Meunier suite
- Irène Servant
- Stéphane Ponzi
- Bruno J. S. Lesieur
- Stéphane Ponzi
- Mendax
- Jérôme Quirant (à 5'27) (vidéo supprimée)
Autre :
- Gérald Bronner (5'50, 14'45)
- Mathias Girel
- Sylvain Delouvée
- Debunker des étoiles
- Peggy Sastre
- Hugo Vranken
- Colin Girard
- Kévin Seroux
- Pleen le Jeune
- Martin Pécho
- Sur la neutralité des universitaires
- Le lobbying s'appuie parfois sur des études biaisées
- Jeremy Royaux
- Thi_loup : "on ne débat pas sur un consensus scientifique", il suffit donc d'en inventer un pour clore un débat.suite
- Voir aussi la manufacture du doute
- Mr Sam : on doit croire ceux qui ont le plus de compétences
- Kumokun : Une partie de la zététique "redéfinit" les mots dans un but purement politique
- Liberté Académique : Pour restaurer la liberté, restaurons d’abord le sens des mots