Critique de l'anti-complotisme institutionnel
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Certains idéologues prétendent lutter contre la désinformation, alors qu'ils luttent contre l'esprit critique.
Ils s'appuient principalement sur :
- des imposteurs de l'antiracisme (Pierre-André Taguieff, Caroline Fourest, et d'autres obsédés de l'islam...)
- des imposteurs de la science (Gérald Bronner, la Tronche en Biais, et d'autres militants pro-OGM...)
Au lieu de démontrer l'hypothèse qu'ils défendent, ils demandent aux sceptiques de démontrer qu'elle est fausse. C'est ce qu'on appelle
un renversement de la charge de la preuve.
Quand un gouvernement nous demande de le croire, c'est à lui d'apporter des preuves convaincantes. On peut chercher à vérifier ce qu'on nous dit sans tomber dans le complotisme.
- Les dérives de l'anti-complotisme
- Les différences entre le complotisme et le scepticisme
- Pour mieux comprendre ce qu'est l'anti-complotisme institutionnel
- Les imposteurs de l'anti-complotisme ont tendance à nous reprocher leurs propres défauts
- Complotisme, un anathème commode, par Le Monde diplomatique (réponse de Conspiracy Watch)
- Macron décodeur-en-chef, par Frédéric Lordon (réponse de Conspiracy Watch)
- Le complot des anticomplotistes, par Frédéric Lordon (réponse de Conspiracy Watch)
- Conspirationnisme, la paille et la poutre, par Frédéric Lordon (réponse de Luftmenschen)
- La théorie du complot et les pompiers pyromanes, par un groupe de chercheurs (réponse de Bronner & co)
- Peut-on critiquer l’anticonspirationnisme ?, par Nicolas Lebourg
- L'association Acrimed, à propos de l'anti-complotisme institutionnel