Différences entre versions de « La science-fiction »

Version du 7 juin 2023 à 15:52

Gérald Bronner :

Dossier du diplo - août 2022 :

Les grands moments de la science-fiction
Les grands rêveurs ont outrepassé les frontières
Science et prescience de "Black Mirror" Le miroir change les choses en spectacles, les spectacles en choses, moi en autrui et autrui en moi
L'humain ne connaîtra plus la mort, et il sera omniscient Le gouvernement cache des aliens dans la zone 51
La SF n'est pas irréaliste, elle va au bout de ce qui est potentiel dans notre commune réalité Elle déroule une hypothèse : "Et si ?" Et si la seule pensée acceptable était celle des médias autorisés, garante de la vérité et de l'harmonie sociale. La SF rend légèrement paranoïaque. Ce n'est pas toujours confortable, mais c'est tonifiant. La mise en question des "évidences" du sens unique de l'histoire, des "vérités" assénées par l'idéologie dominante, de leur dangereuse… déraison
Certains auteurs de SF ont su déceler les menaces dont sont porteuses les contradictions des démocraties libérales La science-fiction est une grande lanceuse d'alerte. Elle propose de faire bifurquer le présent. En torpillant les "évidences" qui nous condamneraient à un avenir déjà écrit, elle active le refus de la résignation
[74 % des Français ont le sentiment de vivre en pleine science-fiction] Cette capacité à interroger les lignes de force de notre monde, à en fêler la représentation dominante, lui permet de refuser la fatalité de ce qui serait le sens unique de l'histoire
Le futur à long terme de la race humaine

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 *[https://twitter.com/Laelia_Ve/status/1655864975183736834 Les aspects politiques des littérature de l'imaginaire]
 *[https://youtu.be/Sg7gV3Vk3Xk?t=630 Conversano et la religion woke]
+*[https://twitter.com/Unpied/status/1666353969306689536 Les délires des milliardaires]