Différences entre versions de « Le journalisme face au complotisme »

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Ceux qui veulent croire sans preuve aux explications qui nous ont été données sont bien évidemment libres de le faire. Nous souhaitons simplement avoir le droit d'en douter, et de demander par exemple l'accès aux [http://www.youtube.com/watch?v=pSnflytHzbU documents classifiés] sans raison valable.
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Ceux qui veulent croire sans preuve aux explications qui nous ont été données sont bien évidemment libres de le faire. Nous souhaitons simplement avoir le droit d'en douter, et de demander par exemple l'accès à [http://www.youtube.com/watch?v=pSnflytHzbU certains documents classifiés].
  
  

Version du 14 juin 2016 à 13:43

Pour lutter contre les théories farfelues qui circulent sur le 11-Septembre, il faut commencer par les dissocier des vraies zones d'ombre que de nombreux journalistes ont étudié. On doit s'en tenir aux faits et ils ne permettent pas, pour le moment, d'avoir de certitudes.


15 ans après le 11-Septembre, les explications présentées par l'administration US n'ont pas encore été démontrées. Les cassettes altérées des "confessions" de Ben Laden, les "aveux" obtenus sous la torture, ou le passeport retrouvé au pied du WTC ne sont pas des preuves convaincantes. C'est pourquoi la plupart des citoyens ont des doutes, et c'est la raison pour laquelle l'association ReOpen911 milite pour une enquête approfondie.


Quelques idéologues ont une vision binaire de ce débat, et cherchent à empêcher qu'il ait lieu. Ils qualifient de complotistes tous ceux qui s'y intéressent. Ces amalgames entre le doute rationnel et les théories délirantes (qui viennent principalement de l'extrême droite) ne font que renforcer la défiance des citoyens envers les médias, et contribuent, au final, à faire progresser le complotisme.


Le scepticisme progresse de plus en plus rapidement : une minorité de citoyens est convaincue par les explications de l'administration US, une autre minorité est convaincue par l'une des thèses alternatives (dont la plupart sont aberrantes), et une majorité a des doutes, plus ou moins importants. Nous en avons parlé avec les journalistes qui nous ont donné la parole. Nous étudions les faits relatifs au 11-Septembre, ainsi que ses conséquences : guerres en Irak et en Afghanistan, la surveillance de masse, Guantanamo...


Ceux qui veulent croire sans preuve aux explications qui nous ont été données sont bien évidemment libres de le faire. Nous souhaitons simplement avoir le droit d'en douter, et de demander par exemple l'accès à certains documents classifiés.



Quelques faits :

  • Edward Snowden s'est inspiré d'un des lanceurs d'alerte du 11/9.
  • Nous avons été les premiers à traduire des articles de Glenn Greenwald (le journaliste qui a révélé l'affaire Snowden), certains portent sur le 11/9.
  • Nos principaux détracteurs sont membres de l'AFIS, une association qualifiée de lobby pro-OGM.